Histoire Fondateurs Gouvernance Collège d’orientation stratégique Conseil d’administration Bureau Équipe & collaborateurs Comité consultatif La MLA dans les médias
2007-2016
Sciences Citoyennes organise des campagnes de mobilisation pour soutenir les lanceurs d’alerte Pierre Meneton (sel dans l’alimentation), Véronique Lapides (écoles construites sur un sol pollué) et Christian Vélot (risques liés aux OGM). Ces expériences montrent les limites d’une organisation dont ce n’est pas l’activité principale : moyens, ressources, informations, réseaux et compétences font défaut.
En parallèle Transparency International France se saisit de la question et, se fondant sur l’expérience vécue par Nicole Marie Meyer (violations de la loi dans la fonction publique), détermine en 2009 trois priorités : une loi pour une protection globale, une Autorité indépendante pour le traitement de l’alerte et une Maison des Lanceurs d’Alerte pour l’accompagnement des personnes.
2016-2018
À l’initiative de Sciences Citoyennes et Transparency France, une vingtaine d’organisations contribuent à la construction de ce qui deviendra la Maison des Lanceurs d’Alerte. Un comité de pilotage en définit les missions, la structuration juridique, la gouvernance, les modalités de fonctionnement ainsi que la stratégie de financement.
22 octobre 2018
17 organisations fondent la Maison des Lanceurs d’Alerte.
28 mars 2019
La Maison des Lanceurs d’Alerte se dote d’une charte détaillant sa vision, ses valeurs et les principes sur lesquels repose son action.
31 décembre 2020
La Maison des Lanceurs d’Alerte compte 300 demandes de soutien et plus de 150 lanceurs d’alerte accompagnés à son actif.
Lire la Charte de la MLA Le financement de la MLA
Fondée en 1998, Attac (Association pour la taxation des transactions financières et pour l’action citoyenne) est une association qui milite pour la justice fiscale, sociale et écologique, et conteste le pouvoir pris par la finance sur les peuples et la nature.
Attac est une association indépendante portée par ses adhérent·e·s et ses donateurs·trices (près de 90% de nos ressources proviennent des adhésions et des dons que nous recevons).
Mouvement d’éducation populaire, l’association produit analyses et expertises, organise des conférences, des réunions publiques, participe à des manifestations et des mobilisations au niveau local, national et international.
Attac mène des actions pour favoriser le développement d’alternatives et pour mettre sous contrôle citoyen les banques et multinationales prédatrices.
ANTICOR est une association fondée en juin 2002 par Éric Halphen et Séverine Tessier pour lutter contre la corruption et rétablir l’éthique en politique. Son ambition est de réhabiliter le rapport de confiance qui doit exister entre les citoyens et leurs représentants, politiques et administratifs.
L’association regroupe des citoyens et des élus de toutes tendances politiques engagés pour faire respecter la démocratie et lutter contre les atteintes à la probité, par-delà leurs divergences d’opinion.
Lors des élections, Anticor défend des propositions éthiques qu’elle adresse aux candidats sans en soutenir aucun. Les différents candidats et partis sont invités à mettre en œuvre les propositions de l’association.
Avec les lanceurs d’alertes, Anticor s’implique dans des affaires judiciaires importantes en signalant au parquet des faits susceptibles de recevoir une qualification pénale. L’association est également agréée par le Ministère de la Justice et la Haute Autorité pour la Transparence de la Vie Publique, ce qui lui permet de relancer des dossiers de corruption lorsque la justice ne bouge pas.
Pour agir en toute indépendance, Anticor a choisi de ne bénéficier d’aucune subvention. Son financement est assuré uniquement par des dons et les cotisations de ses adhérents. L’association veille particulièrement à diversifier ses sources de revenus pour préserver cette indépendance.fa
Notre mission : donner une voix à la planète et protéger notre avenir
Depuis sa création il y a une cinquantaine d’années, Greenpeace agit sur terre et en mer selon les principes de non-violence pour protéger l’environnement et promouvoir la paix. Aujourd’hui, nous restons fidèles à cette mission, ainsi qu’à notre totale indépendance financière et idéologique.
Changements climatiques, inégalités grandissantes, injustices sociales, migrations et conflits armés… Tous les grands défis de notre époque, auxquels nous devons répondre de toute urgence, sont intimement liés – tout comme les structures de pouvoir qui en sont à l’origine et les mentalités qui s’en accommodent. C’est pourquoi il est nécessaire de les transformer conjointement.
Greenpeace est présente dans 55 pays, sur tous les continents et tous les océans grâce à ses 28 bureaux nationaux et régionaux et ses trois bateaux. Elle compte plus de trois millions d’adhérent·es et plus de 36 000 bénévoles à travers le monde. Nous plaçons le pouvoir citoyen au cœur de nos campagnes en donnant une résonance au travail de toutes celles et tous ceux qui partagent notre vision, nos espoirs et notre conviction qu’il faut des transformations profondes de nos sociétés.
Nothing2Hide est une structure associative qui s’est donnée comme objectif d’offrir aux journalistes, avocats, militants des droits de l’homme, “simples” citoyens, les moyens de protéger leurs informations.
Elle travaille sur la technologie comme moyen de favoriser la diffusion et la protection de l’information.
Elle anime des formations à la sécurité numérique et distribue des outils de contournement de la censure.
Le CRIIGEN est le Comité de Recherche et d’Information Indépendantes sur le génie Génétique fondé le 1er juin 1999.
Il s’agit d’un comité apolitique et non-militant de recherche, d’expertise, de conseil , de formation et d’information indépendant des producteurs d’OGM et et des industries agro-chimiques et semencières. Il comprend un groupe d’experts internationaux transdisciplinaires lui permettant d’évaluer les bénéfices et les risques des produits du génie génétique (OGM) mais également des substances qui leurs sont étroitement liées (pesticides , perturbateurs endocriniens et autres xénobiotiques ), tant sur les aspects environnementaux et sanitaires que juridique, agricole, sociologique et économique.
Le CRIIGEN s’intéresse aux effets de ces techniques et de ces produits à court, moyen ou long terme, sur la santé de l’homme et de tout l’écosystème . A ce titre, il se préoccupe du développement inquiétant des pathologies environnementales, c’est-à-dire des maladies chroniques dont la fréquence explose à travers le monde et dont l’origine n’est ni infectieuse ni génétique. Il travaille sous l’égide d’un Conseil Scientifique, composé de médecins et scientifiques français et étrangers, déterminant les priorités de recherches et d’action en fonction de leur impact potentiel sur la santé publique et l’environnement.
Le Criigen propose des conférences, des formations et des séminaires de haute qualité scientifique et accessibles à tous les publics : associations et ONG, entreprises, collectivités territoriales, syndicats, personnels de santé, étudiants, lycéens et collégiens…
L’Ugict-CGT, créée en 1963, est la structure interprofessionnelle dont s’est dotée la CGT pour rassembler les cadres et professions intermédiaires.
Elle permet aux 80 000 Ingé, Cadres et Techs syndiqué·e·s à la CGT et affilié·e·s à l’Ugict-CGT de définir leurs revendications et de décider de leurs actions, elle contribue à la construction des convergences et des solidarités entre les différentes catégories de salarié·e·s. L’Ugict-CGT traite de thématiques telles que le droit à la déconnexion, la reconnaissance des qualifications, la transformation numérique, le management alternatif ou le rôle contributif de l’encadrement.
L’UGICT-CGT revendique de longue date un droit d’alerte, de refus et d’alternative, pour permettre un plein exercice de la responsabilité professionnelle. Avec Eurocadres, son organisation Européenne, l’UGICT-CGT a depuis 2014 coordonné de nombreuses coalitions pour exiger un statut pour les lanceurs d’alerte ou combattre le secret des affaires. L’UGICT a participé à la défense de nombreux lanceurs d’alerte, et notamment Antoine Deltour (Luxleaks), Stéphanie Gibaud (UBS), Céline Boussié (IME Moussaron), Alexandre Berthelot et Guylain Cabantous (Haemonetics/EFS). A l’occasion des rencontres européennes des lanceurs d’alerte qu’elle organisait en novembre 2019 à Paris, l’UGICT a édité un guide des lanceurs d’alerte.
Aujourd’hui, Solidaires est la première organisation syndicale dans un certain nombre d’établissements, d’entreprises, de services, d’administrations, de ministères…
L’Union Syndicale Solidaires tente ainsi de répondre à la crise du syndicalisme et de participer à sa rénovation pour redonner aux salariés le goût de l’action collective.
Il s’agit de mieux s’organiser pour mieux agir ensemble et éviter les phénomènes d’institutionnalisation, de délégation de pouvoir, d’experts, de superstructures que connaissent trop souvent les grandes confédérations.
L’Union syndicale Solidaires, constituée à partir de dix syndicats autonomes, non-confédérés, regroupe actuellement trente-neuf fédérations ou syndicats nationaux.
Les syndicats membres appartiennent à des secteurs professionnels très divers – relevant aussi bien du secteur public que du secteur privé : aérien, banques et finances, culture, éducation, énergie, industrie, métallurgie, Poste et télécommunication, rail, recherche, santé…
Transparency International France est la section française de Transparency International, un mouvement mondial animé par une vision : un monde dans lequel les États, les entreprises, la société civile et les individus dans leur quotidien seraient épargnés par la corruption sous toutes ses formes. Avec plus de 100 sections dans le monde et un secrétariat international à Berlin, nous conduisons le combat contre la corruption pour faire de cette vision une réalité.
Nos valeurs sont la justice, la démocratie, la transparence, la redevabilité, l’intégrité, la solidarité et le courage.
L’affaire des « Biens mal acquis », relative au patrimoine français de plusieurs chefs d’Etats étrangers, et notre mobilisation sur les projets de lois qui ont suivi le choc de l’affaire Cahuzac, ont notamment montré notre capacité à porter dans le débat public le thème de la lutte contre la corruption, en France et à l’étranger.
A travers notre action, nous souhaitons contribuer à sortir par le haut de la crise de confiance qui mine aujourd’hui la démocratie française et le vivre ensemble. Cette question de la confiance dans les institutions, la parole publique et les acteurs économiques est au cœur de nos plaidoyers : sur la transparence du lobbying, sur la prévention des conflits d’intérêts, sur la protection des lanceurs d’alerte ou encore sur l’indépendance de la justice.
Le Pacte civique se définit comme un lobby-citoyen promoteur d’une bifurcation vers une société sobre, juste et fraternelle.
Nous entendons peser sur les politiques publiques, influencer les pratiques des entreprises et des organisations, contribuer à l’évolution du mode de vie des personnes.
Nous prônons une vraie bifurcation économique, écologique et sociale pour retisser une société fracturée, pour lutter contre le dérèglement climatique et l’effondrement de la biodiversité.
Cette mutation doit s’appuyer sur une meilleure qualité démocratique à tous les étages de la société, favorisant le débat éthique et l’implication citoyenne.
Parce que “notre environnement, c’est notre santé”, le RES créé en 2009, agit pour mettre la santé environnementale au coeur des politiques publiques.
Face à l’épidémie de maladies chroniques (maladies cardiovasculaires, cancers, asthme, troubles de la reproduction, troubles du comportement…), agir sur les causes environnementales est aujourd’hui essentiel. La santé environnementale est la réponse à la crise sanitaire actuelle.
30 associations nationales et locales regroupant près de 8 000 personnes sont membres de notre réseau. Le RES est une association agréée au titre du Ministère de la Santé et siège à ce titre à France Asso Santé. Le RES se décline également en régions sous forme de délégations régionales.
BLOOM est une association de loi 1901 à but non lucratif fondée en 2005 par Claire Nouvian.
BLOOM est entièrement dévouée aux océans et à ceux qui en vivent. Notre mission est d’œuvrer pour le bien commun en créant un pacte durable entre l’homme et la mer.
Nos objectifs sont de protéger l’océan et les espèces marines tout en maximisant les emplois durables dans la pêche et l’aquaculture. Nos priorités sont de mettre fin aux méthodes de pêche destructrices et à l’expansion de la pression de pêche dans le monde, de protéger le milieu marin et d’en préserver sa résilience tout en cherchant à favoriser la pêche artisanale utilisant des méthodes douces pour l’environnement et fortement génératrices d’emplois.
Pour atteindre nos objectifs, l’équipe de BLOOM déploie des actions de sensibilisation, d’éducation et de médiation scientifique ainsi qu’un programme de recherche scientifique stratégique et indépendant. Nous sommes également engagés sur le terrain législatif avec des actions de plaidoyer citoyen, une participation à des consultations publiques et des processus institutionnels. Nos actions s’adressent au grand public ainsi qu’aux décideurs politiques et aux acteurs économiques.
Afin de renforcer la responsabilité des acteurs économiques et participer à la construction d’un droit plus protecteur de l’environnement, des communautés et des travailleurs et travailleuses, l’association Sherpa mène depuis plus de 20 ans des activités de plaidoyer, de contentieux, de recherche juridique et de renforcement des capacités. À travers ses actions, Sherpa s’emploie notamment à identifier et combattre les menaces qui pèsent sur la société civile afin de préserver son rôle dans l’espace démocratique.
Pour mettre en œuvre ces activités, Sherpa réunit avocat·e·s, juristes, universitaires, ainsi que de nombreux expert·e·s qui appuient son action, en proposant une approche innovante du droit.
La Maison des Lanceurs d’Alerte est une association à but non-lucratif (loi 1901) pilotée par un Conseil d’administration constitué d’au moins deux tiers d’organisations adhérentes (élues par le Collège d’orientation stratégique) et au plus un tiers de particuliers adhérents (élus par l’Assemblée générale). Il désigne, en son sein, un Bureau paritaire chargé de la gestion courante et des urgences.
Le Collège d’orientation stratégique est composé d’organisations adhérentes volontaires. Il élabore la stratégie générale de la MLA et détermine les évolutions à envisager dans son objet, sous réserve d’approbation par l’Assemblée générale. L’Assemblée générale réunit, tous les ans, l’ensemble des adhérents – organisations et particuliers.
Le Comité consultatif des lanceurs d’alerte est composé de lanceurs d’alerte qui, à l’appui de leur expérience, conseillent la Maison des Lanceurs d’Alerte en vue d’améliorer ses pratiques et de renforcer ses revendications.
Voir le schéma de fonctionnement
L’Ugict-CGT, créée en 1963, est la structure interprofessionnelle dont s’est dotée la CGT pour rassembler les cadres et professions intermédiaires.
Elle permet aux 80 000 Ingé, Cadres et Techs syndiqué·e·s à la CGT et affilié·e·s à l’Ugict-CGT de définir leurs revendications et de décider de leurs actions, elle contribue à la construction des convergences et des solidarités entre les différentes catégories de salarié·e·s. L’Ugict-CGT traite de thématiques telles que le droit à la déconnexion, la reconnaissance des qualifications, la transformation numérique, le management alternatif ou le rôle contributif de l’encadrement.
L’UGICT-CGT revendique de longue date un droit d’alerte, de refus et d’alternative, pour permettre un plein exercice de la responsabilité professionnelle. Avec Eurocadres, son organisation Européenne, l’UGICT-CGT a depuis 2014 coordonné de nombreuses coalitions pour exiger un statut pour les lanceurs d’alerte ou combattre le secret des affaires. L’UGICT a participé à la défense de nombreux lanceurs d’alerte, et notamment Antoine Deltour (Luxleaks), Stéphanie Gibaud (UBS), Céline Boussié (IME Moussaron), Alexandre Berthelot et Guylain Cabantous (Haemonetics/EFS). A l’occasion des rencontres européennes des lanceurs d’alerte qu’elle organisait en novembre 2019 à Paris, l’UGICT a édité un guide des lanceurs d’alerte.
ANTICOR est une association fondée en juin 2002 par Éric Halphen et Séverine Tessier pour lutter contre la corruption et rétablir l’éthique en politique. Son ambition est de réhabiliter le rapport de confiance qui doit exister entre les citoyens et leurs représentants, politiques et administratifs.
L’association regroupe des citoyens et des élus de toutes tendances politiques engagés pour faire respecter la démocratie et lutter contre les atteintes à la probité, par-delà leurs divergences d’opinion.
Lors des élections, Anticor défend des propositions éthiques qu’elle adresse aux candidats sans en soutenir aucun. Les différents candidats et partis sont invités à mettre en œuvre les propositions de l’association.
Avec les lanceurs d’alertes, Anticor s’implique dans des affaires judiciaires importantes en signalant au parquet des faits susceptibles de recevoir une qualification pénale. L’association est également agréée par le Ministère de la Justice et la Haute Autorité pour la Transparence de la Vie Publique, ce qui lui permet de relancer des dossiers de corruption lorsque la justice ne bouge pas.
Pour agir en toute indépendance, Anticor a choisi de ne bénéficier d’aucune subvention. Son financement est assuré uniquement par des dons et les cotisations de ses adhérents. L’association veille particulièrement à diversifier ses sources de revenus pour préserver cette indépendance.fa
Le CRIIGEN est le Comité de Recherche et d’Information Indépendantes sur le génie Génétique fondé le 1er juin 1999.
Il s’agit d’un comité apolitique et non-militant de recherche, d’expertise, de conseil , de formation et d’information indépendant des producteurs d’OGM et et des industries agro-chimiques et semencières. Il comprend un groupe d’experts internationaux transdisciplinaires lui permettant d’évaluer les bénéfices et les risques des produits du génie génétique (OGM) mais également des substances qui leurs sont étroitement liées (pesticides , perturbateurs endocriniens et autres xénobiotiques ), tant sur les aspects environnementaux et sanitaires que juridique, agricole, sociologique et économique.
Le CRIIGEN s’intéresse aux effets de ces techniques et de ces produits à court, moyen ou long terme, sur la santé de l’homme et de tout l’écosystème . A ce titre, il se préoccupe du développement inquiétant des pathologies environnementales, c’est-à-dire des maladies chroniques dont la fréquence explose à travers le monde et dont l’origine n’est ni infectieuse ni génétique. Il travaille sous l’égide d’un Conseil Scientifique, composé de médecins et scientifiques français et étrangers, déterminant les priorités de recherches et d’action en fonction de leur impact potentiel sur la santé publique et l’environnement.
Le Criigen propose des conférences, des formations et des séminaires de haute qualité scientifique et accessibles à tous les publics : associations et ONG, entreprises, collectivités territoriales, syndicats, personnels de santé, étudiants, lycéens et collégiens…
Transparency International France est la section française de Transparency International, un mouvement mondial animé par une vision : un monde dans lequel les États, les entreprises, la société civile et les individus dans leur quotidien seraient épargnés par la corruption sous toutes ses formes. Avec plus de 100 sections dans le monde et un secrétariat international à Berlin, nous conduisons le combat contre la corruption pour faire de cette vision une réalité.
Nos valeurs sont la justice, la démocratie, la transparence, la redevabilité, l’intégrité, la solidarité et le courage.
L’affaire des « Biens mal acquis », relative au patrimoine français de plusieurs chefs d’Etats étrangers, et notre mobilisation sur les projets de lois qui ont suivi le choc de l’affaire Cahuzac, ont notamment montré notre capacité à porter dans le débat public le thème de la lutte contre la corruption, en France et à l’étranger.
A travers notre action, nous souhaitons contribuer à sortir par le haut de la crise de confiance qui mine aujourd’hui la démocratie française et le vivre ensemble. Cette question de la confiance dans les institutions, la parole publique et les acteurs économiques est au cœur de nos plaidoyers : sur la transparence du lobbying, sur la prévention des conflits d’intérêts, sur la protection des lanceurs d’alerte ou encore sur l’indépendance de la justice.
France Nature Environnement est la fédération française des associations de protection de la nature et de l’environnement. Nous sommes porte-parole d’un mouvement de 9 087 associations, regroupées au sein de 46 organisations adhérentes, présentes sur tout le territoire français, en métropole et outre-mer.
Première force syndicale de la DGFiP, Solidaires Finances Publiques, sur la base de ses valeurs, de ses pratiques et engagements auprès d’organisations partenaires (Attac, Visa, Coming…), recherche toujours l’efficacité syndicale pour les personnels et est également au service des grandes solidarités. Les principes de Solidaires Finances Publiques reposent sur :
Pour Solidaires Finances Publiques, « la force du nous » fait sens car elle permet d’agir avec toutes et tous pour faire émerger un monde plus juste, plus humain, plus solidaire !
Afin de renforcer la responsabilité des acteurs économiques et participer à la construction d’un droit plus protecteur de l’environnement, des communautés et des travailleurs et travailleuses, l’association Sherpa mène depuis plus de 20 ans des activités de plaidoyer, de contentieux, de recherche juridique et de renforcement des capacités. À travers ses actions, Sherpa s’emploie notamment à identifier et combattre les menaces qui pèsent sur la société civile afin de préserver son rôle dans l’espace démocratique.
Pour mettre en œuvre ces activités, Sherpa réunit avocat·e·s, juristes, universitaires, ainsi que de nombreux expert·e·s qui appuient son action, en proposant une approche innovante du droit.
La CFDT-Journalistes, qui rassemble 600 journalistes en France répartis dans 24 syndicats, prolonge l’action de L’Union syndicale des journalistes CFDT, héritière du Syndicat des journalistes français (SJF), né en 1886, deux ans après la loi qui légalise les syndicats. La CFDT-Journalistes se veut le moteur de tout ce qui peut faire progresser la profession : négociations de branche, commissions et conseils paritaires, commission de la carte d’identité des journalistes professionnelle, commission arbitrale, commission paritaire nationale pour l’emploi et la formation des journalistes.
Le syndicat est très investi dans les enjeux-clé comme la protection des sources, la déontologie, la représentation à l’international (Fédération européenne et la fédération internationale des journalistes) et dans la lutte contre la précarité dans la profession.
Ce sont d’inconditionnels défenseurs de la déontologie, indispensable à une pratique libre et responsable de la profession ; d’inconditionnels défenseurs de la liberté de la presse aussi, et ils se feront entendre aussi fort que nécessaire chaque fois que quiconque tentera de la bâillonner.
Ils sont enfin très exigeants sur les valeurs fondamentales des relations entre les journalistes et la société. D’où leur engagement en faveur de la protection des lanceurs d’alerte et tous ceux qui participent à la recherche, la production et la diffusion d’une information de qualité accessible à tous.
Fondée en 1998, Attac (Association pour la taxation des transactions financières et pour l’action citoyenne) est une association qui milite pour la justice fiscale, sociale et écologique, et conteste le pouvoir pris par la finance sur les peuples et la nature.
Attac est une association indépendante portée par ses adhérent·e·s et ses donateurs·trices (près de 90% de nos ressources proviennent des adhésions et des dons que nous recevons).
Mouvement d’éducation populaire, l’association produit analyses et expertises, organise des conférences, des réunions publiques, participe à des manifestations et des mobilisations au niveau local, national et international.
Attac mène des actions pour favoriser le développement d’alternatives et pour mettre sous contrôle citoyen les banques et multinationales prédatrices.
BLOOM est une association de loi 1901 à but non lucratif fondée en 2005 par Claire Nouvian.
BLOOM est entièrement dévouée aux océans et à ceux qui en vivent. Notre mission est d’œuvrer pour le bien commun en créant un pacte durable entre l’homme et la mer.
Nos objectifs sont de protéger l’océan et les espèces marines tout en maximisant les emplois durables dans la pêche et l’aquaculture. Nos priorités sont de mettre fin aux méthodes de pêche destructrices et à l’expansion de la pression de pêche dans le monde, de protéger le milieu marin et d’en préserver sa résilience tout en cherchant à favoriser la pêche artisanale utilisant des méthodes douces pour l’environnement et fortement génératrices d’emplois.
Pour atteindre nos objectifs, l’équipe de BLOOM déploie des actions de sensibilisation, d’éducation et de médiation scientifique ainsi qu’un programme de recherche scientifique stratégique et indépendant. Nous sommes également engagés sur le terrain législatif avec des actions de plaidoyer citoyen, une participation à des consultations publiques et des processus institutionnels. Nos actions s’adressent au grand public ainsi qu’aux décideurs politiques et aux acteurs économiques.
Sud Recherche EPST est un syndicat des établissements de recherche publique français (EPST signifie Etablissement Public à Caractère Scientifique et Technologique), membre de l’union syndicale Solidaires. Il regroupe des personnes de tous statuts et de toutes fonctions travaillant dans les différents métiers de la recherche publique.
En ces temps où on veut nous convaincre – malgré la crise économique, sociale et écologique dans laquelle le libéralisme nous a plongés – que la seule solution, à tous les niveaux, est de jouer à fond le jeu de la compétition, du chacun pour soi, il œuvre pour remettre au goût du jour la solidarité, redonner vie à l’action collective et refonder un syndicalisme de masse, porté par les personnels.
Il se bat pour une recherche et une expertise publiques indépendantes et est aux côtés des personnes qui sont mises en cause, notamment dans l’enseignement supérieur et les établissements publics de recherche, pour avoir dénoncé des pratiques professionnelles condamnables.
Le Syndicat national des journalistes CGT (SNJ-CGT) lutte pour la défense des conditions de travail des journalistes, en particulier les plus précaires d’entre eux.
Il prend également part à de nombreux combats pour la défense des libertés fondamentales, dont les libertés syndicales, la liberté de manifester, la liberté d’expression, la liberté d’informer mais aussi celle d’être informé.
Le SNJ-CGT revendique l’indépendance des journalistes vis-à-vis des actionnaires qui possèdent les médias dans lesquels ils travaillent. Les interventions des « milliardaires de la presse » sur la ligne éditoriale des médias qu’ils possèdent représentent un danger majeur pour la démocratie.
La lutte pour la liberté d’expression, la liberté d’informer et d’être informé met également en évidence les intérêts communs étroits qui existent entre lanceurs d’alerte et journalistes. Le SNJ-CGT, en lien notamment avec la Fédération internationale des journalistes (FIJ), la Fédération européenne des journalistes (FEJ), l’Ugict-CGT, mais aussi la Maison des lanceurs d’alerte, Eurocadres ou encore Informer n’est pas un délit, a pris part à de nombreuses actions et coalitions dans le domaine.
L’APESAC, est une association nationale (loi 1901), reconnue d’intérêt général et agréée par le Ministère de la Santé. Elle compte environ 7 336 victimes touchées par le syndrome en France. Le bureau est composé de quatre élus, Marine Martin Présidente, Aurélie Dufour Secrétaire, Florent Martin Trésorier, Nathalie Orti Community Manager. L’APESAC dispose d’une conseillère scientifique, l’épidémiologiste Catherine Hill, qui nous permet d’avancer sur les deux grands axes actuels de recherches à savoir :
L’association est née en 2011 d’un simple constat : personne ne connaissait l’embryofœtopathie à l’acide valproique ou aux anti-épileptiques, et les familles avaient bien du mal à avoir un diagnostic correct et une prise en charge adéquate.Trop d’enfants naissent aujourd’hui encore handicapés suite à l’exposition à la Dépakine®, Dépakote® ou Dépamide® et d’autres anti-épileptiques pris pendant la grossesse, sans que les parents n’aient été informés des risques.
NOS OBJECTIFS
Aujourd’hui, Solidaires est la première organisation syndicale dans un certain nombre d’établissements, d’entreprises, de services, d’administrations, de ministères…
L’Union Syndicale Solidaires tente ainsi de répondre à la crise du syndicalisme et de participer à sa rénovation pour redonner aux salariés le goût de l’action collective.
Il s’agit de mieux s’organiser pour mieux agir ensemble et éviter les phénomènes d’institutionnalisation, de délégation de pouvoir, d’experts, de superstructures que connaissent trop souvent les grandes confédérations.
L’Union syndicale Solidaires, constituée à partir de dix syndicats autonomes, non-confédérés, regroupe actuellement trente-neuf fédérations ou syndicats nationaux.
Les syndicats membres appartiennent à des secteurs professionnels très divers – relevant aussi bien du secteur public que du secteur privé : aérien, banques et finances, culture, éducation, énergie, industrie, métallurgie, Poste et télécommunication, rail, recherche, santé…
Fondée en 2002 en Allemagne par Thilo Bode en réaction au scandale de la vache folle, foodwatch est également présente aux Pays-Bas depuis 2009, en France depuis 2013, à Bruxelles, et en Autriche depuis fin 2020.
foodwatch est une ONG indépendante européenne. En France, c’est une association loi 1901.
foodwatch défend les droits des citoyens et citoyennes à plus de transparence dans le secteur alimentaire et à l’accès à une alimentation saine.
A travers ses actions de lanceur d’alerte et de mobilisation, foodwatch fait la lumière sur les pratiques de l’industrie alimentaire afin qu’elles changent et que les autorités publiques fassent véritablement respecter nos droits.
Face à l’opacité du marché alimentaire en France et en Europe, nous menons des enquêtes pour révéler des informations et scandales au grand jour. Face à l’impunité, nous nommons et exposons les responsables pour qu’ils rendent des comptes. foodwatch développe ainsi un véritable contre-pouvoir citoyen face aux lobbies de l’industrie agroalimentaire et crée un espace de débat public, là où il est trop souvent confisqué.
Nos activités couvrent des thèmes variés liés à notre alimentation : scandales et fraudes alimentaires, transparence sur l’étiquetage et emballages trompeurs, impact de notre alimentation sur la santé, menaces des accords de libre-échange, etc.
Nothing2Hide est une structure associative qui s’est donnée comme objectif d’offrir aux journalistes, avocats, militants des droits de l’homme, “simples” citoyens, les moyens de protéger leurs informations.
Elle travaille sur la technologie comme moyen de favoriser la diffusion et la protection de l’information.
Elle anime des formations à la sécurité numérique et distribue des outils de contournement de la censure.
Parce que “notre environnement, c’est notre santé”, le RES créé en 2009, agit pour mettre la santé environnementale au coeur des politiques publiques.
Face à l’épidémie de maladies chroniques (maladies cardiovasculaires, cancers, asthme, troubles de la reproduction, troubles du comportement…), agir sur les causes environnementales est aujourd’hui essentiel. La santé environnementale est la réponse à la crise sanitaire actuelle.
30 associations nationales et locales regroupant près de 8 000 personnes sont membres de notre réseau. Le RES est une association agréée au titre du Ministère de la Santé et siège à ce titre à France Asso Santé. Le RES se décline également en régions sous forme de délégations régionales.
Le Pacte civique se définit comme un lobby-citoyen promoteur d’une bifurcation vers une société sobre, juste et fraternelle.
Nous entendons peser sur les politiques publiques, influencer les pratiques des entreprises et des organisations, contribuer à l’évolution du mode de vie des personnes.
Nous prônons une vraie bifurcation économique, écologique et sociale pour retisser une société fracturée, pour lutter contre le dérèglement climatique et l’effondrement de la biodiversité.
Cette mutation doit s’appuyer sur une meilleure qualité démocratique à tous les étages de la société, favorisant le débat éthique et l’implication citoyenne.
Au total, la Maison des Lanceurs d’Alerte compte 30 organisations membres.
Voir toutes les organisations membres de la Maison des Lanceurs d’Alerte
Associations, syndicats, fédérations… Vous souhaitez être membre de la Maison des Lanceurs d’Alerte ?
Vous pouvez soumettre votre candidature tout au long de l’année. L’adhésion et la participation au Collège d’orientation stratégique sont soumises à l’approbation du Conseil d’administration. Les entreprises et les collectivités territoriales ne sont pas admises au sein du Collège d’orientation stratégique.
En savoir plus
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Emmanuelle Amar est épidémiologiste et directrice du registre des malformations en Rhône Alpes depuis janvier 2007. Ce registre est chargé par les autorités de santé publique de collecter et d’analyser les données sur toutes les issues de grossesses de la Région. L’activité de surveillance permet de quantifier et documenter les malformations congénitales, repérer des anomalies dans leurs fréquences et répartitions et alerter les autorités sanitaires le cas échéant. L’ensemble du personnel du registre est salarié des Hospices Civils de Lyon (CHU). C’est dans ce contexte que dès la fin 2010, Emmanuelle Amar émet un premier signalement auprès de l’Institut de Veille Sanitaire, tutelle du registre, d’un cluster, dans l’Ain, de naissances d’enfants porteurs de malformations identiques (agénésie du membre supérieur). Elle réitère ensuite ses alertes chaque année du fait de la survenue de nouvelles naissances porteuses de la même malformation dans la même zone géographique de l’Ain, en vain, alors même que de nouveaux clusters de la même malformation sont observés dans d’autres territoires en France.
En décembre 2016, elle informe l’agence Santé publique France de sa décision de publier un article dans la revue Environnement Risque et Santé* relatant l’échec des alertes. L’agence considère qu’il n’y a pas lieu d’agir vis-à-vis de ces clusters, et oppose un veto à la publication. Le conseil scientifique du registre décide collégialement de maintenir la publication de l’article. Deux ans plus tard, en septembre 2018, le journal Le Monde évoque les clusters de « bébés sans bras » et l’affaire prend un tour médiatique. En novembre 2018, l’ensemble de l’équipe du registre reçoit sa lettre de licenciement pour « motif économique ». L’information est largement relayée par la presse et soulève l’indignation des professionnels de santé du CHU mais aussi d’une grande partie de la population. La radio RTL propose alors à Emmanuelle Amar de poser une question à Agnès Buzyn lors de l’émission le Grand Jury. En direct, la ministre demande à ce que les licenciements soient suspendus. L’équipe est réintégrée.
Activités rémunérées exercées à titre principal ou accessoire au cours des 5 dernières années
Prise de participation financière (notamment parts sociales, actions, obligations) dans un organisme privé ou mixte ou détention de droits de propriété intellectuelle
Participation à l’instance décisionnelle d’un organisme privé ou public
Autres liens d’intérêts devant être portés à la connaissance de la Maison des Lanceurs d’Alerte
Activités rémunérées exercées à titre principal ou accessoire au cours des 5 dernières années
Prise de participation financière (notamment parts sociales, actions, obligations) dans un organisme privé ou mixte ou détention de droits de propriété intellectuelle
Participation à l’instance décisionnelle d’un organisme privé ou public
Autres liens d’intérêts devant être portés à la connaissance de la Maison des Lanceurs d’Alerte
Marine Martin est une autrice et présidente de l’association d’Aide aux Parents d’Enfants souffrant du Syndrome de l’Anticonvulsivant (APESAC). Elle est la lanceuse d’alerte du scandale de la Dépakine (Valproate de sodium), médicament antiépileptique prescrit aux femmes épileptiques ou bipolaires.
En 2002, quand son fils naît avec des malformations et troubles neurocomportementaux, elle cherche à en comprendre la cause. En 2009, elle découvre le lien entre la Dépakine et les malformations/autisme, grâce au site du CRAT (Centre de Recherche des Agents Tératogènes). En 2011, elle décide de créer l’association APESAC pour informer les victimes du danger et alerter les médias et les pouvoirs publics pour changer les conditions de prescription.
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